Un peu d'histoire, bien bio...

Denis Genier sur la terre de ses ancêtres (sur ce terroir des coteaux depuis au moins 1720), fait suite à ses parents (Roger et Irène), grands parents (Antonin et Léontine) sur l’exploitation et au Marché de Brive-la-Gaillarde. Son père Roger se rappelle même du temps, quand il était gamin, où on payait l’octroie à la descente du train pour entrer en ville et avoir le droit de commercialiser ses produits (canards gras, œufs, fruits)…Roger, quant à lui, est présent sur le Marché depuis 1938.

Une prise de conscience personnelle et écologique  pousse Denis Genier à expérimenter une agriculture AUTREMENT… il a une conviction très forte : s’orienter vers le NATURELIl avait débuté sa réflexion sur les auxiliaires et la préparation en 1986. En 1988, il met en place des pratiques de respect du sol, de l’eau, du vivant. 
Il obtient une certification Bio dès 1992. 

A cette époque, il ne s’agit pas encore d’une niche, d’un segment de marché,….. d’une mode dans l’air du temps… 😉

Aussi existe-t-il très peu d’assistance technique et de supports pédagogiques.

Denis Genier a dû observer, tester, adopter les bons comportements pour obtenir la complicité des auxiliaires, ces animaux : insectes, oiseaux ou mammifères ( chrysopes, syrphes, mésanges, chauve-souris…) qui se régalent des « ennemis » du jardin qui, eux, se régalent des fruits du fermier. Lien vers la page auxilliaire

Cet apprentissage s’est poursuivi, avec passion, sur une bonne dizaine d’années… et fait toujours l’objet d’adaptation, de recherche, de régulations de plus en plus précises…

EN BIO DEPUIS 1992en commençant par les pommes, puis ont suivi les kiwis, kiwaïs, noix, marrons, myrtilles, cassis… 

  • POMMES
  • Plus de 20 variétés de pommes (dont environ les trois-quart sont d’anciennes variétés locales)
  • MYRTILLES
  • plus de 5 variétés de myrtilles
  • CASSIS
  • 3 variétés de cassis
  • MARRONS
  • NOIX
  • KIWIS
    • 4 variétés de kiwis, (dont les 1ers furent plantés par le père Roger Genier en 1968)
  • KIWAIS
    • 2 Varietés de kiwaiis , les premiers plantés en 1987

(ce n’est pas si fréquent, soyez vigilant

De plus  , d arboriculteurs se mette  aux bio , mais selon de pratiques intensives   plantation de pommiers tous les 1 metre avec irrigation goutte a goutte durant les mois de juin a septembre ,  calibres , rendement …… , si vous cherchez des prix !!! ideal , mais la valeur nutritionnelle des fruits  , ( ce que doit garantir le bio  …) est elle au rendez vous  ?  !!!

 

je ne pratique pas cette agriculture  agriculture intensive , ayant débuté le bio ds les années 1986  1988 , j ai une certaine éthique , philosophie … , respect de ce mode de culture  , l alternance fait que j ai des rendements  très irréguliers suivant les variétés , et les variétés anciennes sont plus  » capricieuses a maîtriser  !!!  n hesitez pas a me poser des questions , plaisir sera pour moi de vous faire partager ma passion !!!

Belles et bio

A la vente vous trouverez des pommes bonnes et bio, dont certaines avec des « cicatrices ». Il faut savoir que cette lutte induit une réaction positive du fruit en goût et valeur nutritive … Les fruits les moins présentables, bien que sains,  iront, quant à eux, au pressoir pour faire du jus et/ou du vinaigre.  Les autres trop abîmés finiront dans les bois et serviront de nourriture aux oiseaux durant la période hivernale. Grâce aux soins à base d’huiles essentielles, d’apport d’éléments naturels,  et grâce à

dégâts par les pucerons

Lutte naturelle

Pour lutter contre les pucerons, on coupe les jeunes pousses de l’année lorsqu’elles commencent à être colonisées par ceux-ci. Elles sont mises dans des sacs pour les sortir du verger. L’ invasion des pucerons est aussi limité par les auxiliaires (chrysopes, syrphes, hyménoptères, coccinelles..) qui en font des repas gargantuesques. Des massifs d’ortie sont mis en place dans les rangs des plantations. Les orties sont fauchées à l’automne. Au printemps, elles s’épanouissent d’un vert appétissant… des pucerons les colonisent, tous les auxiliaires viennent s’y régaler… Les pucerons des pommiers, pêchers viennent par la suite, ce ne sont pas les mêmes que

et les chenilles...

Une pomme Drap d’Or avec morsure de chenille et cicatrisation lorsque la pomme faisait environ 4 cm de diamètre